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Je thème, c'est ma version ... la suite

19 août 2012

Les vacances

(19 juillet 2012)

Comme mes fesses exigent un certain confort, comme je suis particulièrement désagréable avec les humains en maillot de bain et tongs et comme je n'aime ni la plage ni la mer et comme j'aime ne rien foutre en vacances, nous choisissons toujours de partir peu mais chez les autres ...

Donc, cette année, notre choix s'est fait suivant les critères habituels :

* Pas loin de chez nous mais avec une probabilité d'ensoleillement élevé (j'ai dit ensoleillement pas chaleur)

* Campagne et espace pour gambader

* Piscine et jeux pour les enfants

* Animaux si possibles

* Table d'hôtes obligatoire

Nous avons donc choisi une maison d'hôtes à Saint Christophe de Laris (26).

D'abords, le paysage est reposant avec des champs, des chevaux et des ânes ...
Nous sommes arrivés et avons été bien accueillis. La chambre était assez bien finie, joliment décorée, parfaitement propre et tempérée.

En ce lieu, l'extérieur est calme inspirant la "zénitude" ; les jeux pour enfants sont bien conçus et diversifiés, la piscine est bien faite et bien entretenue.

Avec joie, nous avons trouvé les repas simples, élaborés avec des produits frais en provenance du potager. Les propriétaires, très bons commerciaux, attachants et pleins d'humour fabriquent aussi leurs vins (noix, acacia, coing et pissenlit) tous très bons, et ils fabriquent du miel (enfin leurs abeilles parce qu'eux, je ne sait pas s'ils ont le temps de butiner)

Les convives, de passages comme nous, ont été très sympas, une famille belge avec des enfants a fait la joie de nos loupiots même si une vieille dame plus acariâtre que moi a su nuancer ce tableau de Norman Rockwell.

Bref, on a passé des moments presque top!

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19 août 2012

La livraison du frigo

   

(17 juillet 2012)

Pour diverses raisons que je pourrais vous raconter si vous êtes insomniaques, nous avons du changer de frigo. Après une recherche analytique hyper-poussée, nous avons opté pour un frigo en provenance du magasin à côté de chez nous (ça vallait le coup de réfléchir!). Nous avons (et c'est important dans l'histoire) choisi un frigo américain assez simple livré chez nous.

Le jour arrive, lundi matin, jour de notre départ en vacances.

Les livreurs arrivent, visitent l'appart et disent : "Ok, pas de problèmes"

Ils déballent le frigo avant de le monter (bizarre) et sans le protéger un minimum (risqué).

Ils trainent le frigo sur le trottoir, tentant desepérément de le faire rouler dans un long crrrrrrrrricccccc, là, je commence à flipper!

Ils attaquent l'escalier, le "chef" dit à son gars qui a la carrure d'un courreur éthiopien, l'endurance en moins : "On va faire comme ça comme ça ..."

Ils saisissent vigoureusement les ventouses et pchioute pchoute, ils collent et commencent à soulever. Arg, une marche, le frigo vacille, arg une autre il tangue à me donner le mal de mer, une autre, Doudou se sent obligé de donner un coup de main avant que le frigo se transforme en bobsleigh.

Attention Gérard (j'veux dire Holtz car ça vaut les J.O.), ils abordent le virage, arff, ils sont coincés, le chef dit :  " Faut faire comme ça comme ça ..."

Doudou dit dépité : "Mais ce n'est pas possible, ça ne passe pas comme ça"

Le chef, qui attention est chef, dit : "Mais si!", comme dans un scketch de Chevallier/Laspales ... et bien sûr, après essai, ça ne passe pas ...

Doudou les guide, ils arrivent en haut. Il leur propose deux passages possibles pour arriver à destination.

Le chef, choisit le coté X. Ils avancent, le coéquipier va vomir son ptit dej si ça continue!

Et là, je dis : "Attention, là ça dépasse", et là, le chef me répond "Quoi?"

Hummmmmm, scrrrirtch, trop tard, une rayure "à la tole" de 25 cm sur la porte de gauche.

Le chef nous dit : "Bon c'est pas grave, je le note sur le bon et je dis à mon chef de vous appeler". Sauf que le bon se présente en 3 exemplaires carbonés et le chef écrit, j'vous le donne en mil, au feutre! Je lui dis : "Je garde quel exemplaire?", il me dit : "Aucun". Dans un long soupir, je corrige le problème (ré-écriture et signature au stylo, photocopie du bon).

Quelques heures passent, le super-chef du chef  appelle et propose (Monsieur est grandseigneur), 30 euros de ristourne (même pas le prix de la livraison!, Ah ah ah, où est Marcel Bélivot?)

Doudou, remonté comme une montre suisse lui dit, "Je ne veux pas un frigo rayé moins cher, je veux un frigo neuf, plein pot!... et vendredi dernier délai (jour de notre retour de vacances)"

Le superchef réitère sa superproposition et précise : "Sinon, il faut en commander un autre et vous l'aurez sous 15 jours et autrement, allez vous faire foutre, ce n'est pas possible."

Doudou, manisfestement très irrité dit : "Je ne veux pas le savoir, vous avez fait une connerie, vous trouvez une solution".

"Non, Monsieur, je vous emmerde, ce n'est pas possible"

"Donnez moi votre numéro de fax"

"0477...", devinez, c'est un numéro bidon.

Doudou, va t-il exploser? Va t-il aller lui péter les dents? Non, Doudou rappelle et demande un vrai numéro de fax avant explosion.

Notre ami avocat envoye un joli fax simple et expéditif.

Et bien, en moins d'une heure, ils ont trouvé une solution ... impossible n'est pas Auchan?

Au final, ils sont venus vendredi changer la porte ; chef était là et nous a dit pour finir en beauté : "Ca y est, c'est réparé mais franchement ça aurait pu être évité, le gars qui m'a aidé était intérimaire et franchement, les intérimaires ne sont plus ce qu'ils étaient!"

 

Mais quel imbécile ce "Chef"!

 

6 août 2012

Un périple à Paris

(02 août 2012)

Vendredi, Doudou me dit : "Faut qu'on aille à Paris ce soir (sous entendu pour le travail), sinon, ce ne sera pas possible ...".

Vite, je préviens la Deedee, vite, je prépare des affaires, vite, je bois un cafiot avec le voisin, vite, je prépare les gosses, quand soudain, Bip Bip (zut! je mute!)

Doudou m'appelle : "On ne pourra pas partir qu'à 17h parce que (...)!"

17h : on part, putaingg, arrivée prévue au GPS à 22H30

20h : arrêt pipi, cassecroute vite fait, Luna fait sa courge et du coup, se fit mal, le drame, elle a une griffure sur la cuisse!

20h20 : on repart

22h00 : arrivée sur Paris, faut encore pas se planter de quartier ...

22h40 : arrivée dans la résidence, ouaissssssss, .... après avoir tourné dans le quartier avec une remorque au derch dans des rues étroites et à sens unique (sinon c'est pas drôle) ; rues dans lesquelles quand tu te trompes, tu es obligé de re-re-faire le tour du quartier tout en évitant soigneusement de scrouncher les autos en stationnement interdit! Ahhhhhhhhhh, j'aime la Province!!!!!! Bref, nous voilà arrivés sur le parking, oups, question : "euh, on se gare où?"

23h00 : on essaye toujours de détaller pour garer la remorque sur la place de parking prévue pour la Deedee mais impossible mon cher Tom!

23h30 : après un demi-heure de muscu, enfin surtout pour Doudou car nous on se la joue DDE : "un qui bosse, deux qui regardent" (NB : eh, les gars, mettez pas le feu à mon blog, c'est juste une blague), et surtout, en l'absence de solution, on se gare, ...  glurps ... , sur la pelouse (oui, c'est vilain on s'est fagellés tout le WE!!!!)

1h20 : Dodo

7h00 : Doudou s'en va et nous on papote.

10h30 : Retour de l'Enfant Prodigue de Doudou, je vous passe la comédie du stationnement (bis repetita placent! ~ pour jf ~)

Jusqu'à 13h00 : Repos et bavardage

13h30 : départ pour StE ... quand on sait qu'à Paris pour faire 1300 mètres on a mis 32 minutes et que Bison Futé annonce WE noir sur les routes, nous voilà bien contents!

14H30 : on est sorti de Paris, on roule, on roule, pas un bouchon, pas un ralentissement, nada, Bison Futé, Bison Futé, pfffff, Bison Pété oui!

 

En fait on a passé un bon moment, ensemble!

Finalement quand on y pense, faut pas trop nous mouiller et nous donner à manger après minuit, car le résultat est édifiant!

Avant                                                                                             Après

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31 juillet 2012

Un petit tour en Megane RS

(31 juillet 2012)

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Hier, je suis allée faire un tour en Mégane RS (c'est elle, là, juste au dessus) avec quelqu'un qui fait du rallye et donc maîtrise un tant soit peu le pilotage ; plusieurs mes égos se sont manifestés :

La volontaire : je monte dans l'auto, je m'attache et nous voilà partis. Les sièges baquets sont assez larges et le maintien n'est pas terrible pour un petit gabarit comme le mien. Doudou m'avait dit avant le départ "J'espère que tu n'as pas trop mangé" ... A ces mots, j'aurais du me méfier mais ...

La fille brillante : bref, comme je suis une fille brillante (si si ... des fois ... enfin pas cette fois finalement), j'ai choisi un jour calme (ça c'est brillant) pour ce genre de plaisir mais c'était sans compter sur le fait que 5 jours avant, j'avais fait replacer mes vertèbres par mon osthéo (là j'ai éteint la lumière).

La grosse maline : je lui dit "Vas-y je ne crains pas ...", sous entendu "les conduites dynamiques ne me gènent pas" donc voilà il accélère, roh la grosse maline, me voilà agrippée à la poignée au dessus de la porte à droite et mon bras gauche est verrouillé sur le côté du baquet!

La crispée : verrouillée de tous le côtés, je savoure le repas du soir, ce moment sympa et je pense "Oh, le paysage est ... est vert", ben oui, c'est un peu tout ce que j'ai le temps de voir !
Mon épaule, ma nuque, mon bras me rappelle que je suis en vie ... enfin pour combien de temps? ... Soudain il se tourne vers moi et me dit "Ça va?", hyper à l'aise je réponds "euh viiiii", "on était à 190 mais on peut passer plus fort" et là je pense au film Taxi où "c'est quand on s'arrête qu'on vomit" ...

La vieille : au retour (et je vous passe le passage de la Spéciale de Rallye), il me dit "Tu veux essayer?" et là je le regarde en lui disant "je voudrais bien mais je crois que là, je ne peux pas", ... trop endolorie la vieille!

Enfin, ça ne paraît pas mais j'ai passé un super moment, ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas pris de plaisir avec une bonne sportive ... même si ce n'est pas moi qui conduisait cette fois-ci.

28 juillet 2012

John Carter (... de Mars)

(28 juillet 2012)

J'ai vu cet après midi, John Carter ; j'ai passé un agréable moment avec ce film qui certes n'est pas un grand film (à mon sens) mais est sans prise de tête ...

Bon, outre les noms qui sont peu originaux au moins dans leur consonance, les bleus contre les rouges, ça fait franchement vieux match de foot ... Les personnages et le scénario ont un vague goût du 5ème élément, la guerre des étoiles et Indiana Jones, mais ...

... ami bon public, c'est pour toi!

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Le cinéaste oscarisé Andrew Stanton signe avec JOHN CARTER un grand film d’aventures qui se déroule sur la planète Barsoom (Mars), peuplée de tribus guerrières et d’extraordinaires créatures. Tiré du premier livre du « Cycle de Mars » d’Edgar Rice Burroughs, le film raconte le fascinant voyage de John Carter, qui se retrouve inexplicablement transporté sur Barsoom, au cœur d’une guerre mystérieuse entre les habitants de la planète. Parmi tous les êtres étranges qui peuplent cet univers, il fera la connaissance de Tars Tarkas et de la captivante princesse Dejah Thoris. Dans ce monde sur le point de disparaître, Carter va découvrir que la survie de Barsoom et de son peuple est entre ses mains…

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26 juillet 2012

eh, y en a qui bossent

(26 juillet 2012)

Et dire qu'il y en a qui mangent du comté et de la cancoill, d'autres de vraies pizzas et même d'autres des andouillettes pendant que les plus vaillants triment pour ... euhhh, des nèfles!

Non mais franchement ... j'vous l'dis, ... la cigale s'étant gavée tout l'été se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue, ... elle du se mettre au régime avant la fourmi sa voisine ... elle avait bossé comme une forcenée mais avait du coup des bras musclés, un cul de déesse (non pas la voiture ... diantre!) et le ventre plat (enfin ça dépend quand même si le barbeuc est bon, faut bien se nourir...) ... Ami lecteur, je m'égare, ça rime plus, bientôt je vais voir un oasis ...

 

Bref, quand vahiné sera gonglé, la figue aura séché (ou pas), niarf, niarf, niarf

21 juillet 2012

Zebda da da

(21 juillet 2012)

Je suis couchée dans mon lit avec mon eeePC tout propre tout beau (merci copain!) et se balade dans mes ptites noreilles, Zebda - album "Second tour". 

Une vague m'emporte à nouveau comme quand j'étais en Maîtrise à la fac et je me souviens ... (Lecteur, tu vois le flash back? non? regarde encore ... ou ... bois une bière)

J'étais célibataire et je trainais mes galoches avec la Deedee et nos tripotés de potes respectifs avec qui, entre autres, on se délectait du doux nectar de la cafèt Lamartine qui, après réflexion, aurait détartré à merveille les WC de la gare de Dijon.

Mais revenons à nos melons (argg, sans mauvais jeu de mots), c'est dans une soirée "Tout le monde est mon copain" organisée par une de ses cops de l'UFR STAPS que j'ai découvert Zebda.

D'abord, j'ai ri, puis je me suis procurée les albums et j'ai tout dévoré ...

Les paroles engagées (ce n'est pas si courant) sur des musiques métissées entrainantes et gaies  m'ont tenues longtemps compagnie dans les trains, les bus, les intercours et les moments de déprime.

Plus de 15 ans ont passé et je retrouve avec plaisir ces sensations ...  (roh la mémé!)   

20 juillet 2012

Que faut-il penser?

(20 juillet 2012)

Après un certain nombre d'évènements et de conversations, et après quelque réflexion sur ces dernières années, je me suis posée (encore!) quelques questions (non lecteur, te sauve pas c'est peut-être pas tout pourri comme billet ...) :

Quand on s'intéresse vraiment au gens, qu'on pose des questions et pire, qu'on attend des réponses, est-on si envahissant?

Quand on peut aider et qu'il est dans notre nature de donner un petit coup de main, gratuit, sans attente de retour, est-ce si louche?

Quand on parle sérieusement et franchement, qu'on ne ment pas, est-on un emmerdeur (euse)?

Je ne comprends pas cette société où, par définition, vivre ensemble devrait être s'occuper les uns des autres plutôt que cet individualisme forcené.

Je ne comprends pas que pour ne pas blesser, on soit obliger de "choisir ses mots", qu'il soit malvenu de pointer du doigt les erreurs alors que celles-ci nous font avancer autant que les bons choix ou qu'il faille s'intéresser aux gens de façon superficielle alors que l'essence même de la vie humaine réside dans les expériences fortes, le vécu et que l'aliénation découle du manque de partage de tout cela (putainnggg, c'est trop profond c'que j'raconte, j'en pleurerais presque).

Qu'est-ce que c'est que cette société où pour convaincre que nos mots sont honnêtes et bien choisis, on doit alourdir chaque phrase de "sérieusement", "franchement" et autre "sincèrement"...

Tout ça me fatigue. Bof, je ne suis pas encore assez vieille pour piétiner cette révolte mais je m'étiole avec le temps ... même si cet attribu de "grande gueule" dont on me parait quand j'avais la vingtaine tient maintenant plus du pin's (non mauvais jeu de mot mon Cedr ;°)) que de la Tour Eiffel, mais je garde une petite flamme de révolte et NON, je ne changerai pas!

18 juillet 2012

Jean Paul Gauthier est une tafiole

(17 juillet 1012)

Après des années de domination, JeanPaul Gauthier s'est fait détronner par une jeune styliste à l'esprit fantaisiste. Elle ne sait pas encore bien y faire avec ses mannequins mais le potentiel vaut bien quelques petites erreurs de communication !

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A suivre ...

15 juillet 2012

L'ordre et la morale de Matthieu Kassovitz

(15 juillet 2012)

Le 5 mai 1988, j'avais 16 ans. Les événements de Nouvelle Calédonie faisaient la une des journaux.  A cette époque, j'avais une vision superficielle de ceux-ci d'autant qu'ils étaient supplantés par l'affrontement Chirac (1er ministre) / Mitterand (président) durant le second tour de la présidentielle, lui même faisant suite à l'historique première cohabitation.

J'avais presque oublié l’existence de cette île jusqu'à ce matin, quand j'ai vu « L'ordre et la morale », le film ultra-polémique de Matthieu Kassovitz.

D'abord, j'aurais tendance à dire : « Eh, les gars, c'est UN FILM, Kassovitz est Legorjus pour de rire ! », une histoire, de l'action, et (et ce n'est pas si fréquent en ce moment) une fin. A mon sens, il faut déjà le regarder comme un film avec tout ce que ça implique de Rambo zenitude ou de Keyser Söze attitude, et peu importe les objectifs du réalisateur dans ce cas.

J'insisterais ensuite sur le fait que ça a vraiment eu lieu, et qu'on devrait au minimum s'en souvenir, au moins y réfléchir … Poofff, on peut polémiquer des heures sur qui a fait quoi et comment mais n'empêche, c'était pas joli-joli (Eva, ceci n'est pas contre toi), et en vrai, il y a vraiment eu des morts, pour des raisons qui n'impliquent que les protagonistes finalement ! L'évidence reste que la morale qu'on enseigne aux enfants n'est guère appliquée à l'âge adulte ...

Enfin, de là à dire qu'il s'agit d'un film historique, « Faut pas pousser mémé » ; on sait qui est Matthieu Kassovitz, ce qu'a voulu défendre Legorjus, ce qui a animé les politiques de l'époque (et qui les anime encore), en quoi consiste la réflexion des militaires et la transparence des événements !

A réfléchir, mais pas trop !

ordremorale

Avril 1988, Île d'Ouvéa, Nouvelle-Calédonie. 30 gendarmes retenus en otage par un groupe d'indépendantistes Kanak. 300 militaires envoyés depuis la France pour rétablir l'ordre. 2 hommes face à face : Philippe Legorjus, capitaine du GIGN et Alphonse Dianou, chef des preneurs d’otages. À travers des valeurs communes, ils vont tenter de faire triompher le dialogue. Mais en pleine période d'élection présidentielle, lorsque les enjeux sont politiques, l’ordre n’est pas toujours dicté par la morale... Une épopée violente et trouble qui marque le retour de Mathieu Kassovitz devant et derrière la caméra

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